Le Hezbollah révèle les pertes d’Israël depuis l’opération terrestre
Depuis le lancement de l’opération terrestre israélienne au Sud-Liban, les affrontements entre l’armée israélienne et le Hezbollah se sont intensifiés, entraînant des pertes humaines importantes. Selon des sources militaires, 110 soldats israéliens ont été tués depuis le début de cette opération, qui vise à démanteler les positions stratégiques du Hezbollah le long de la frontière. Les combats, particulièrement violents autour de localités comme Maroun al-Ras, révèlent l’ampleur de la résistance rencontrée par les forces israéliennes.
Selon le mouvement Hezbollah, depuis le 1er octobre 2024, 1 050 militaires sionistes sont blessés dans les affrontements dans le sud du Liban.
Selon le communiqué de la Salle des opérations de la Résistance islamique, depuis le début de l’agression sioniste contre le Liban, 48 chars Merkava, 9 bulldozers militaires, 2 véhicules militaires, 2 véhicules blindés et deux véhicules de transport de troupes ont été détruits.
Pendant ce temps, les forces de la résistance ont réussi à abattre 6 drones Hermes 450, deux drones Hermes 900 du régime sioniste.
Selon des rapports de terrain, le Hezbollah a tendu plusieurs embuscades aux forces israéliennes, causant des pertes significatives. Par exemple, le 13 novembre, six soldats israéliens ont été tués dans une attaque particulièrement meurtrière.
Des sources locales ont également rapporté que des combats acharnés avaient lieu dans les zones rurales, où le terrain accidenté favorise les tactiques défensives du Hezbollah. Répercussions régionales Cette escalade militaire, marquée par des pertes humaines croissantes, exacerbe les tensions régionales.
Les bombardements intensifs sur les positions du Hezbollah dans le sud du Liban se sont accompagnés de tirs de roquettes en représailles contre le nord d’Israël. Ces affrontements ont également aggravé la crise humanitaire dans les zones affectées.
Face à cette montée des tensions, les Nations unies et plusieurs acteurs internationaux ont appelé à la retenue. La communauté internationale redoute une extension du conflit, qui pourrait entraîner des répercussions au-delà des frontières libanaises et israéliennes.