Trump menace le Moyen-Orient de payer un terrible prix si les otages de Gaza ne sont pas libérés
Sur la plateforme Truth Social, le futur président des États-Unis a mis en garde le groupe terroriste du Hamas, ordonnant la libération des otages avant son investiture le 20 janvier prochain, menaçant le Moyen-Orient de payer un terrible prix.
Le futur président des États-Unis a publié un message sur Truth Social, exigeant du Hamas la libération des otages. Tout le monde parle des otages qui sont détenus de manière si violente, inhumaine et contre la volonté du monde entier, au Moyen-Orient. Mais ce ne sont que des paroles et aucune action, a déploré le futur locataire de la Maison-Blanche.
Si Donald Trump n’a pas encore officiellement pris ses fonctions, cela ne l’empêche pas d’intervenir déjà dans les conflits mondiaux.
Ainsi, il laisse au groupe terroriste jusqu’à son investiture, le 20 janvier prochain, pour libérer les otages encore retenus dans la bande de Gaza, sans quoi le prix à payer sera terrible au Moyen-Orient et pour les responsables qui ont perpétré ces atrocités contre l’humanité. Il promet également que les responsables seront frappés plus durement que quiconque dans la longue et riche histoire des États-Unis d’Amérique.
Ce message intervient deux jours après la publication d’une vidéo, samedi 30 novembre, par le Hamas où l’on peut voir un des Israéliens pris en otage le 7 octobre 2023. Cet enregistrement, dont la date d’enregistrement ne peut être vérifiée, montre un jeune homme s’exprimant en anglais et en hébreu. Il s’adresse à la fois à Donald Trump, mais également au Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Il les implore de faire le maximum pour obtenir sa libération.
Depuis les attaques du Hamas contre Israël, le 7 octobre 2023, une seule et unique trêve est entrée en vigueur. Un mois après les attentats du groupe terroriste sur le sol israélien, 105 otages avaient été libérés contre la libération de 240 prisonniers palestiniens. Depuis, sept otages ont été libérés par l’armée israélienne. Tsahal estime que 72 personnes vivantes sont encore détenues par le Hamas.