L’armée israélienne commet quatre massacres dans la bande de Gaza

Le ministère de la Santé de Gaza a fait savoir, que l’armée israélienne a commis quatre massacres contre les familles dans la bande de Gaza et que 32 martyrs et 54 blessés ont été admis aux hôpitaux au cours des dernières 24 heures.

Lundi matin, un certain nombre de citoyens ont été martyrisés et blessés lors du bombardement de Nuseirat par des avions de combat d’occupation, dans le centre de la bande de Gaza.

Un citoyen a également été martyrisé et d’autres ont été blessés suite aux tirs à balles réelles de l’occupation en direction d’une école abritant des personnes déplacées au nord-ouest du camp.

L’occupation israélienne a commis un nouveau massacre dans la région d’Al-Mawasi, à l’ouest de Khan Younis, au sud de la bande de Gaza, où des avions de guerre israéliens ont ciblé plusieurs tentes pour personnes déplacées près de l’hôpital britannique, entraînant la mort de 5 citoyens et des dizaines de blessés avec des blessures diverses selon un résultat infini.

Des témoins oculaires ont rapporté que les bombardements ont provoqué d’énormes incendies dans les tentes abritant des familles déplacées, au milieu des cris et des appels à l’aide des habitants.

Dans son communiqué quotidien, le ministère de la Santé a également précisé que nombre de victimes sont toujours sous les décombres et sur les routes, alors que les équipes de secours et de défense civile ne peuvent pas accéder à ces zones en raison des restrictions imposées par Israël.

Le bilan de l’agression israélienne a, ainsi, atteint 45 259 morts et 107 627 blessés, et ce, depuis le 7 octobre 2023, a indiqué la même source.

Ce génocide perpétré par Israël, avec le soutien des États-Unis, a fait des milliers de morts et de blessés, mais également plus de 11 000 personnes disparues. La famine, le chaos et la destruction s’abattent sur Gaza, tuant de nombreux enfants et personnes âgées.

Israël continue ses massacres en dépit des mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale le 21 novembre dernier contre le Premier ministre Benyamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant, accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité à l’encontre des Palestiniens.

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