Le régime turc a l’intention d’annexer des zones du nord de la Syrie
les territoires syriensLes militants des droits humains arabes et kurdes ont averti que le régime turc commençait lentement à révéler son intention d’annexer à des terres des zones sous le contrôle de l’armée du régime turc au nord de la Syrie.
La décision d’ouvrir le Collège de médecine et l’Institut de la santé dans la ville syrienne d’Al-Rai est considérée comme le meilleur témoin, ce qui représente une menace directe pour la sécurité nationale arabe et syrienne et constitue un préface des interventions turques dans d’autres pays arabes.
Le président du régime turc, Recep Tayyip Erdogan, a signé mardi, une décision d’ouvrir une faculté de médecine et un institut des sciences de la santé dans la ville d’al-Rai dans la campagne d’Alep, au nord de la Syrie, qui est sous le contrôle de l’armée turque et ses mercenaires, comme une étape supplémentaire qui révèle la persistance des ambitions expansionnistes turques dans les territoires syriens.
Il s’agit d’un dangereux précédent, car pour la première fois un décret présidentiel turc a été publié concernant le nord de la Syrie, qui prévoyait l’ouverture d’une école de médecine et d’un institut supérieur des sciences de la santé dans la ville d’Al-Ra’i, situé dans le so – Zone appelée « Bouclier de l’Euphrate » contrôlée par l’armée turque et ses mercenaires syriens et militants de la ligne dure.
La Syrie a rejeté catégoriquement la décision du régime turc d’ouvrir une faculté de Médecine et un institut supérieur des Science sanitaires appartenant à l’Université d’Istanbul dans la localité d’al-Raï dans la banlieue d’Alep, « ce qui constitue un acte dangereux et une violation flagrante du droit international et de la Charte de l’ONU », a déclaré à l’Agence Sana une source responsable du ministère des Affaires étrangères.
La source a indiqué que cette décision vise à élargir le contrôle par le régime turc de territoires sous la souveraineté de la République arabe syrienne, ce qui constitue une violation flagrante du droit international et de la Charte des Nations unies.
Le ministère a indiqué que les transgressions du régime turc contre la souveraineté de la Syrie, y compris la construction du soi-disant « mur de séparation », les politiques de turquisation dans les écoles, l’imposition de la livre turque et l’ouverture d’un bureau de poste turc étaient des prétextes derrière lesquels ce régime se cache pour justifier ses pratiques terroristes.
La source a ajouté que le gouvernement de la République arabe syrienne réitère sa demande au Conseil de sécurité d’assumer ses responsabilités dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales et de mettre un terme aux crimes et aux attaques du régime turc commis contre le peuple syrien et la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Syrie.
par: Arab Observer